17 septembre 2005

Niaiseries #1 et #2

Des niaiseries quand on était plus jeune, est-ce qu'on en a faites ? Même encore aujourd'hui, arrivé à un âge vénérable il nous arrive encore d'en faire. J'ai décidé aujourd'hui d'en dresser une petite liste non-exaustive de mes plus mémorables. Les niaiseries s'écheloneront sur plusieurs jours / semaines, pas que j'en aie faites des tonnes, mais plutôt pour aller au rythme qu'elles me reviennent en mémoire. Alors voici, la première dont plusieurs de mes amis sont déjà au courant. J'étais jeune, peut-être 5-6 ans, je ne m'en souviens pas, mes parents avaient chez eux un beau parasol, très grand. Ayant probablement vu ça à la télé ou encore à la radio je décidai de faire de moi un Mary Poppins. Je m'emparai du parasol, et je parti en direction du grand pin du voisin, que je savais être un arbre particulièrement facile à escalader : peu fourni, pas piquant, les branches biens espacées et présentes jusqu'au bas de l'arbre. Donc parasol en main, arrivé en haut de l'arbre, je me jettai en bas tout en tentant d'ouvrir le parasol le plus rapidement possible pendant ma chute. Heureusement l'arbre n'était pas trop haut, et moi assez rapide pour avoir le temps d'ouvrir un peu le parasol afin d'amortir ma chute. Je tombai sur le dos sans me faire mal, mais je ne recommencerai pas, promis !

La deuxième histoire devait se passer aussi dans les même années, j'étais peut-être un peu plus vieux car mon frère Guillaume était déjà né. Ma mère venait tout juste de nous acheter un Atari 2600 et j'étais plus qu'heureux. Mon frère alors pas très agé à l'époque (nous avons 5 ans de différence moi et mon frère) a décidé, alors que j'étais en train de jouer, que c'était son tour et qu'il voulait changer de jeu. Comme sur toutes les consoles, même celles d'aujourd'hui, il existe un mécanisme qui permet de retirer la cartouche de jeu (ou le disque aujourd'hui). Mon frère, n'étant visiblement pas au courant de l'existence d'un tel mécanisme, fit fi des directives et retira la cartouche alors que j'étais encore en train de jouer. Quelle ne fut pas ma rage de constater après coup que notre console toute neuve était à présent brisée! Ainsi, quelques jours plus tard, ma mère décida de faire honorer la garantie du produit, et nous retournâmes au Zellers de Terrebonne (je crois bien que c'était celui de Terrebonne). Ma mère se mis donc à expliquer au vendeur que l'Atari c'était soudainement arreté de fonctionner sans raison. Entendant pareil mensonge venant de la bouche de ma mère, je ne pus m'empêcher de lancer fièrement "Ben non maman, c'est Guillaume qui l'a brisé !!!" Comme quoi la vérité sort toujours de la bouche des enfants. Le tout s'est quand même bien terminé , le vendeur a accepté de nous l'échanger :-)

1 commentaire:

Mathieu a dit...

Niaiserie, par définition, est-ce qu'il faut être niaiseux pour en faire?