Nous nous sommes achetés un lit et des tables de chevet chez Germain Larivière pour notre chez nous. Il s'agit d'un ensemble de la série Atlantic de Shermag. Voici de quoi ça a l'air :
(Ne regardez pas les traîneries, ce sont celles de Nathalie :-P)
29 octobre 2005
27 octobre 2005
Constatation orthographique
Le médicament pour soulager les maux d'estomac s'appelle Gaviscon et non Graviscon comme je l'ai toujours prononcé.
26 octobre 2005
Parenthèse référencement : Tarte
J'ai constaté avec étonnement que le référencement du mot tarte a fait son petit bout de chemin dans le moteur de recherche MSN. Ce moteur semble plus rapide que les autres à indexer les pages, et donc mon blog y est déjà référencé presque en entier. En effet voyez comment le site de la madame en question (je ne la nomme pas ici, pour ne pas que ça soit mon blog qui en bénéficie) se positionne dans l'engin de recherche MSN par rapport au mot tarte. Je crois même que si d'autres personne s'y mettent, la tête des résultats pourrait être atteinte, après il faudra que ce résultat se répercute surYahoo et ensuite Google, le plus gros engin. Wait and see.
La vieillesse
J'ai eu 26 ans il y a 2 jours. Plus ça va, plus je commence à trouver que c'est réellement difficile de vieillir. Quoique considéré encore jeune par la majorité de la population (jeune et vieux sont des adjectifs purement relatifs) je me sens pourtant déjà ralentir. L'époque pas si lointaine où je sortais tous les vendredis et samedis soirs est révolue, je suis rendu même que je fais des siestes dans l'après-midi, chose que je ne comprenais pas du tout il y a à peine 5 ans. Je me souviens avoir déjà essayé de faire des siestes auparavant, et je me réveillais tout croche, je me disais qu'en plus d'être inutile, ça faisait juste faire "feeler" plus mal. Sert à rien de dormir l'après-midi ! Ah j'oubliais, je me couche de plus en plus tôt, même la fin de semaine. Il m'arrive même de me coucher plus tôt la fin de semaine que la semaine. D'autres maux de l'âge commencent aussi à apparaître. J'ai mal dans le dos, la fatigue et le stress m'envahissent. Et pourtant ce n'est pas parce que j'ai forcé mal, ou que je me suis blessé au dos. J'ai mal peut-être parce que j'ai une mauvaise position de travail, ou peut-être parce que je dors mal, ou encore à cause de la tension que le stress provoque en moi. J'ai aussi mal au bras et au coude, cela dû au badminton. Je perds aussi mes cheveux de plus en plus, mais j'espère bien voir ce phénomène se stabiliser. C'est génétique, et mon père (52 ans) a encore des cheveux, le front quelque peu dégarni, mais tout de même. Donc si je me fis à ce clone de moi (il me ressemble terriblement), je devrais garder des cheveux. Il me semble que tout ça s'est passé très rapidement et j'espère bien que ce rythme va ralentir, car je n'ose m'imaginer qu'est-ce que ça sera rendu à 60 ans. Je l'avoue, je suis un peu petite nature maintenant, j'ai aussi l'estomac fragile et des brûlements. Mais comme ma copine l'affirmait, ce sont les petites natures qui vivent le plus longtemps. Mais qu'est-ce qui est le plus important, vivre longtemps ou vivre longtemps et en santé ?
19 octobre 2005
L'intermitence de l'horloger
Est-ce qu'il y a de quoi de plus fatigant dans la vie qu'un foutu de problème intermitent? Oui ok, il y a cette tarte là et cette tête d'ail là aussi. Mais après ça... Je me souviens être allé au garage avec ma vieille Nissan Sentra Classic 1993 qui avait un problème. Lorsque j'accélérait, la voiture avait des hésitations, et plus particulièrement quand il faisait froid. De plus, le fait de changer de grade d'essence améliorait la situation. Mais bon, j'arrive chez le garagiste et lui expose mon problème. Comme il sait que je n'habite pas très loin il me propose de lui montrer le problème, et en même temps de me faire un "lift" jusqu'à chez moi. Nous montons dans mon "bazou" et j'essaie de lui montrer le problème, et bien évidemment ça "l'arfapus" comme dirais si bien François Pérusse. J'essaie de monter le moteur en révolution un peu plus haut (c'était une voiture manuelle) pour que le problème se reproduise, rien à faire, je n'arrive qu'à m'attirer un "wôôôôô c'est pas une Civic que t'as !!!" de la part de mon garagiste qui se met à me dire que si c'est comme ça que je traite mon automobile, elle peut bien se mettre à mal fonctionner. J'ai fini par récolter une facture salée et une voiture pas totalement réparée.
Dernièrement c'était ma montre de poche (d'où le sujet du message). Depuis près de 3 ans, elle fonctionnait par intermitence. Elle gardait l'heure à la seconde près, je la réglais d'après l'horloge atomique et chaque fois que j'en faisais la vérification, elle demeurait exactement à l'heure. Le seul ennui, c'est que parfois elle s'arrêtait de fonctionner complètement. Elle pouvait fonctionner pendant un mois complet, et hop, elle s'arrêtait, pendant x heures/jours et se remettait à fonctionner un peu plus tard. Qu'est-ce que je fais moi ? Je vais à la bijouterie pour dire que ma montre fonctionne, mais qu'un moment donné elle va arrêter ? Je l'ai donc conservée tout ce temps, jusqu'à ce qu'elle se mette définitivement à ne plus fonctionner. Maintenant elle est réparée, et j'ai une garantie de 6 mois la dessus que je compte bien faire honorer si jamais elle se met à défaillir encore une fois.
Petite parenthèse hors du sujet, un Google Bombing a récemment été fait à l'endroit du candidat à la chefferie du Parti Québécois, André Boisclair. Par contre, étant l'oeuvre d'une seule personne (un seul site web en fait), la bombe n'a pas tenu le coup très longtemps. Vous pouvez toujours tenter votre chance, qui sait ? Peut-être que le phénomène prendra de l'ampleur et le résultat rechangera. Les mots à utiliser : dangereux fumiste.
Dernièrement c'était ma montre de poche (d'où le sujet du message). Depuis près de 3 ans, elle fonctionnait par intermitence. Elle gardait l'heure à la seconde près, je la réglais d'après l'horloge atomique et chaque fois que j'en faisais la vérification, elle demeurait exactement à l'heure. Le seul ennui, c'est que parfois elle s'arrêtait de fonctionner complètement. Elle pouvait fonctionner pendant un mois complet, et hop, elle s'arrêtait, pendant x heures/jours et se remettait à fonctionner un peu plus tard. Qu'est-ce que je fais moi ? Je vais à la bijouterie pour dire que ma montre fonctionne, mais qu'un moment donné elle va arrêter ? Je l'ai donc conservée tout ce temps, jusqu'à ce qu'elle se mette définitivement à ne plus fonctionner. Maintenant elle est réparée, et j'ai une garantie de 6 mois la dessus que je compte bien faire honorer si jamais elle se met à défaillir encore une fois.
Petite parenthèse hors du sujet, un Google Bombing a récemment été fait à l'endroit du candidat à la chefferie du Parti Québécois, André Boisclair. Par contre, étant l'oeuvre d'une seule personne (un seul site web en fait), la bombe n'a pas tenu le coup très longtemps. Vous pouvez toujours tenter votre chance, qui sait ? Peut-être que le phénomène prendra de l'ampleur et le résultat rechangera. Les mots à utiliser : dangereux fumiste.
13 octobre 2005
Moi dans MSN
Je viens de m'appercevoir il y a quelques minutes de cela, qu'une personne est tombée sur mon blogue en cherchant quelque chose dans MSN Search. En effet mon petit compteur de visiteurs fait plus que me donner le nombre de gens qui sont venus visiter mon blogue, mais aussi leur provenance, et quelle ne fût pas ma surprise de m'apercevoir qu'un visiteur qui a cherché Pierre-Karl Péladeau est venu visiter ma page. Comme MSN semble plus rapide à parcourir mon blog, j'ai été rapidement indexé, alors que c'est encore le néant du côté de Google. Donc pour Pierre-Karl je sors dans la 12ième page (ok c'est pas super !) sur MSN.com et la 7ième sur MSN.ca. De plus une autre personne a cherché "qu'est-ce que la convergence" toujours sur MSN, et là attention ! 2ième page !! Tadaaaaaa ;-) Wahooo, aujourd'hui Québécor, demain le monde mouhahahahahahaha ! Rire machiavélique.
12 octobre 2005
L'attention animale
J'ai remarqué ça depuis quelques temps. Un animal de compagnie ça peut alimenter des conversations pendant des heures et des heures sans qu'on s'en lasse. Faut quand même avouer que c'est pratique quand on a rien à dire. Sans vouloir vraiment signifier qu'on a rien à se dire, ça arrive souvent quand je vais chez mes parents de parler de Mignon (mon chat), Whisky (le chat de ma mère) ou encore Starsky (le chat de ma soeur). En fait ça permet de remplir les blancs et de repartir sur un autre sujet un peu plus tard car en parlant de quelque chose que l'un de nos petits animaux ça nous fait penser à autre chose, et une fois le sujet épuisé, on en revient au chat : "Ah le mien est rendu fou, il saute sur les murs. Je te jure, je suis assis en train d'écrire un message pour mon blog, et la il saute sur le cadre de porte et se laisse glisser jusqu'en bas. Je sais pas ce qu'il peut bien penser, peut-être croit-il que s'il avait encore des griffes il pourrait toucher le plafond ?" Je me souviens que ça m'a parfois beaucoup aidé dans un moment de gêne, quand j'avais rien à dire parce que j'étais timide et qu'une fille particulièrement intéressante se trouvait à mes côtés : "Ahhh elle est cute Cappucine, mais j'en aurai pas de chien moi, je trouve que ça fini toujours par sentir le chien mouillé dans une maison." En plus ça bave pis ça besoin d'être promené, mais ça je ne lui ai pas dit. Remarque que c'est un bon moyen de rencontrer du monde ; tu vas promener ton chien dans le parc et tu peux faire des rencontres suprenantes, comme dans les films. Plus besoin de Réseau Contact ou Télématch, c'est tu pas merveilleux ?
Remarquez les orteils à gauche, ce sont les miens, qui sont si "Mignons" eux aussi ;-)
Remarquez les orteils à gauche, ce sont les miens, qui sont si "Mignons" eux aussi ;-)
06 octobre 2005
Le pouvoir du référencement
Qu'est-ce que le référencement allez-vous me dire ? Eh bien de façon abrégée c'est l'ensemble des techniques qui permettent de positionner un site web dans les résultats des engins de recherche comme Google, Yahoo ou MSN pour ne nommer que ceux-là. Eh oui, il est possible d'influencer en quelque sorte les engins de recherche afin qu'un site web apparaisse en tête des résultats pour des mots-clés ciblés. J'ai eu une courte formation sur le sujet il y a quelques mois de cela, par un expert en référencement et ça m'a un peu donné la piqûre. En fait je ne me proclame en aucun cas référenceur, car je n'ai jamais mené de projet en référencement à terme, mais j'avoue qu'il s'agit là d'un sujet qui m'intéresse grandement. Là où je voulais en venir, c'est que parfois le référencement peut servir à de petits malins pour faire ce qui s'appelle un Google Bombing (Google étant le moteur de recherche le plus utilisé). Les exemples les plus frappants qui ont paru sont ceux concernant le président George W. Bush, pour qui le mot clé miserable failure réfère automatiquement à la page officielle de sa biographie, ainsi que mouton insignifiant qui lui pointe sur la page de Jean Charest, premier minitre du Québec. Le plus surprenant la dedans, c'est qu'à aucun endroit dans ces pages, les mots ciblés n'apparaissent. Cela provient du fait que Google, Yahoo et MSN n'utilise pas uniquement le contenu d'un page comme critère dans leur algorithme de recherche, mais tiennent aussi compte des pages qui réfère à celle-ci ainsi que le texte apparaissant sur les liens qui y font référence. Ainsi, une personne extérieure au site web peut initier un mouvement visant à améliorer la position d'un site web dans les engins de recherche majeurs simplement en publiant du contenu et des liens vers ce site web, avec les mots-clés visés. C'est un peu pour cette raison que dans mon blog je fais parfois des liens farfelus, simplement pour m'amuser, voir si un jour ces mots provoqueront un changement dans les engins de recherche. Je vous invite d'ailleurs à participer avec moi si vous le désirez. Faites des liens vers mon blog, il deviendra peut-être un jour très populaire ;-) Avec Vincent d'Abacus référencement nous avons trouvés quelques mots qu'il pourrait être comique d'exploiter, comme tête d'ail, tarte ou encore pourriture. Alors ne vous questionnez plus sur la pertinence des liens que je fais ici, malgré que parfois il soit tout à fait légitime.
P.S : Recherchez donc flag burning dans Google Image par exemple (suggestion de Vincent), les résultats ne sont pas si surprenants ;-)
P.S : Recherchez donc flag burning dans Google Image par exemple (suggestion de Vincent), les résultats ne sont pas si surprenants ;-)
03 octobre 2005
Parlons badminton
Je joue au badminton depuis plus de 10 ans avec un groupe organisé : un associé de l'entreprise de mon père qui depuis son cégep organise ça les mardi soirs. En 10 ans j'ai joué dans 3 gymnases différents, j'ai utilisé 5 raquettes, j'ai détruit plusieurs volants (pas que je suis si puissant, mais un volant arrive au bout du rouleau un moment donné), j'ai fini 2-3 paires de souliers, je me suis foulé la cheville 1 fois, j'ai rencontré beaucoup de monde, j'ai gagné plus de partie que je n'ai perdues (je crois :-P).
Me voilà rendu au bout de ces 10 années d'expérience et je me demande si je ne suis pas en train de stagner. Je m'explique, quand je joue, c'est pout le plaisir, mais aussi pour gagner. Il faut dire que j'ai un certain esprit de compétition qui demeure en moi. Ça l'air que c'est de famille, mes oncles du côté de mon père sont pareils, mon père un peu moins. Ainsi je suis un peu mauvais perdant, mais ce n'est pas vraiment là où je voulais en venir. Ce que je voulais dire, c'est que j'essaie toujours de m'améliorer, de peaufiner une facette de mon jeu. Et ça c'est une chose que j'ai un peu de la misère avec les autres joueurs. Dans nos groupes, évidemment tous ne sont pas du même calibre et j'ose me catégoriser dans les plus forts du groupe. Parfois je ne peux m'empêcher de désespérer face au peu d'amélioration que mes coéquipiers apportent à leur jeu. Ils ont toujours les mêmes points faibles et ne semblent pas travailler à les améliorer. Ce que je remarque aussi, c'est souvent le manque de combativité... c'est un match de badminton qu'on est en train de jouer, nous ne sommes pas spectateurs, il faut participer, courir après le volant, s'étirer pour aller le chercher le plus loin possible. Je me vois, ou je vois d'autres joueurs courir partout, et souvent aller chercher le volant à côté du coéquipier paresseux. Je veux bien croire que tous n'ont pas les même capacités physiques, mais je suis de ceux qui se disent que le badminton c'est 90% dans la tête, donc faites aller vos méninges. C'est peut-être ça le problème, le manque de sens du jeu. Je me confonds en hypothèses pour expliquer tout ça, mais c'est peut-être moi qui comprends mal. Je dois être trop compétitif. À chaque saison depuis un bout, je me donne de nouveaux objectifs à améliorer. Il y a 2 ans, c'était mon coup du revers, que j'ai grandement amélioré et gagné en puissance. Dans les dernières années, c'était mon jeu au filet, car rarement je me positionne à cet endroit, mon partenaire (souvent féminin) ayant de la difficulté à obtenir la puissance ou la mobilité que j'ai en fond de terrain. Il m'en reste encore beaucoup à apprendre, et pourtant j'en surpasse plusieurs.
Autre chose qui me tracasse avec ça, c'est que j'ai très souvent à jouer avec un partenaire plus faible que moi. Je n'ai pas de misère si celui-ci me laisse la place pour manoeuvrer : je peux couvrir bien du terrain. Ce qui est agaçant c'est quand il veut en prendre plus qu'il en est capable. Oui c'est le fun qu'il veuille en prendre davantage, si les coups qu'il essaie réussissent. Ça m'arrive souvent de penser "Oui ce coup là je l'avais et j'aurais fait mieux que ça". Ça peut avoir l'air égoïste, mais c'est la réalité. En fait, et je vais conclure ainsi, c'est que je crois que j'aimerais jouer avec des joueurs meilleurs que moi et ainsi, n'avoir que moi-même à blâmer. À ce moment, ce sont eux qui se diront : "qui m'a fichu avec un pareil partenaire ?"
Me voilà rendu au bout de ces 10 années d'expérience et je me demande si je ne suis pas en train de stagner. Je m'explique, quand je joue, c'est pout le plaisir, mais aussi pour gagner. Il faut dire que j'ai un certain esprit de compétition qui demeure en moi. Ça l'air que c'est de famille, mes oncles du côté de mon père sont pareils, mon père un peu moins. Ainsi je suis un peu mauvais perdant, mais ce n'est pas vraiment là où je voulais en venir. Ce que je voulais dire, c'est que j'essaie toujours de m'améliorer, de peaufiner une facette de mon jeu. Et ça c'est une chose que j'ai un peu de la misère avec les autres joueurs. Dans nos groupes, évidemment tous ne sont pas du même calibre et j'ose me catégoriser dans les plus forts du groupe. Parfois je ne peux m'empêcher de désespérer face au peu d'amélioration que mes coéquipiers apportent à leur jeu. Ils ont toujours les mêmes points faibles et ne semblent pas travailler à les améliorer. Ce que je remarque aussi, c'est souvent le manque de combativité... c'est un match de badminton qu'on est en train de jouer, nous ne sommes pas spectateurs, il faut participer, courir après le volant, s'étirer pour aller le chercher le plus loin possible. Je me vois, ou je vois d'autres joueurs courir partout, et souvent aller chercher le volant à côté du coéquipier paresseux. Je veux bien croire que tous n'ont pas les même capacités physiques, mais je suis de ceux qui se disent que le badminton c'est 90% dans la tête, donc faites aller vos méninges. C'est peut-être ça le problème, le manque de sens du jeu. Je me confonds en hypothèses pour expliquer tout ça, mais c'est peut-être moi qui comprends mal. Je dois être trop compétitif. À chaque saison depuis un bout, je me donne de nouveaux objectifs à améliorer. Il y a 2 ans, c'était mon coup du revers, que j'ai grandement amélioré et gagné en puissance. Dans les dernières années, c'était mon jeu au filet, car rarement je me positionne à cet endroit, mon partenaire (souvent féminin) ayant de la difficulté à obtenir la puissance ou la mobilité que j'ai en fond de terrain. Il m'en reste encore beaucoup à apprendre, et pourtant j'en surpasse plusieurs.
Autre chose qui me tracasse avec ça, c'est que j'ai très souvent à jouer avec un partenaire plus faible que moi. Je n'ai pas de misère si celui-ci me laisse la place pour manoeuvrer : je peux couvrir bien du terrain. Ce qui est agaçant c'est quand il veut en prendre plus qu'il en est capable. Oui c'est le fun qu'il veuille en prendre davantage, si les coups qu'il essaie réussissent. Ça m'arrive souvent de penser "Oui ce coup là je l'avais et j'aurais fait mieux que ça". Ça peut avoir l'air égoïste, mais c'est la réalité. En fait, et je vais conclure ainsi, c'est que je crois que j'aimerais jouer avec des joueurs meilleurs que moi et ainsi, n'avoir que moi-même à blâmer. À ce moment, ce sont eux qui se diront : "qui m'a fichu avec un pareil partenaire ?"
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